Le port au bateau : départ pour Osantlat

à Zénor, prés d'un port, Alyeka arriva avec les autres et conduisie le petit groupe vers une embarquation en bois

-Bien le bonjour déesse Alyeka, dit le Capitaine du bateau. Voila le groupe de voyageur.... Mais c'est du feu que vous avez sur l'épaule ! vous allez me griler mon bateau !
-Du calme mon amie, c'est juste un démon et il n'aime pas l'eau donc le bois mouiller c'est pas son truc, répondit Alyeka en rigolant. Il m'a promis de ne pas griller votre bateau.
-Heureusement ou je lui met de l'eau direct ! EMBARQUEMENT IMMÈDIAT POUR OSANTLAT !

Nous arrivâmes à Zénor. Le départ avait été précipité et j'avais faillis oublier mon sac. Toujours perturbée par mon étourdissement, je faillis tomber par terre en entendant la voix du capitaine que je ne m'attendais pas à entendre. Il parla avec la déesse et je pouffais de rire à sa blague. Je l'aimais bien la déesse Alyeka, a chaque coup trop dur j'allais lui adresser une prière. J'étais heureuse qu'elle soit là. Je regardais autour de moi, le bateau était beau. Des cordages descendait des mats et me donnaient envie d'y grimper. Je me tournais vers le capitaine.
-Dans combien de temps allons nous partir?
Avant que je puisse répondre, j'eus peur, je n'avais jamais pris la mer et je me tournais vers la déesse, inquiète.
Je viens d'y penser Déesse, jamais je n'ai voyagé ainsi, si je ne le supportais pas?
Je ne la regardais pas directement, honteuse d'avouer ma faiblesse. Et j'attendais son conseil.

La tête basse, j'entendis le conseil de la déesse.
-Ne t'en fait pas au début ça vas étre calme mais si tu as le moindre probléme... vient me voir et je t'aiderais ^^
Je relevais la tête et lui sourit.
-Merci Déesse!
Je m'inclinais et m'avançais vers le capitaine.
-Je peux monter?
-Bien-sûr Milady! Allez y!
-Vous n'avez pas répondu à ma précédente question.
-Nous partirons quand la Déesse le dira!
Je montais sur le pont et regardais en l'air. Je trouvais les voiles magnifiques. Et m'appuyais sur le bastingage.
[b]-Ëlaelle! viens voir!

[Heyy !! Fallait que je me batte avec Kean !! ... bon tant pis ! ]

Dès que nous fumes sur les côtes de Zénor, la bonne odeur du bord de mer vint envahir mes narines et le vent salé fouettait mon visage, épousant ses formes pour aller ensuite virevolter dans les cheveux, que j'avais détachés !
J'étais tellement enthousiaste que je ne faisais plus attention à rien. Ni à la surveillance de mon écuyer, ni à ma promesse de combat avec Kean ... ni à rien.
Sans y être conviée, je couru sur le pont et me précipitais telle une enfant à l'autre bout du bateau. une fois là, je m'accoudai à la coque du navire et regardais l'horizon songeuse et rêveuse ! la houle oscillant sous nous berçait mes pensées, et doucement je fermais les yeux, me délectant de ce moment.
-Bouh ! cria Kean arrivé derrière moi.
Me plantant ses doigts dans côtes, je fis un bond et dégainai mon épée. Je la pointais vers lui, reprenant mon souffle. Il me sourit, narquois et m'adressa et petit :
-Nt, Nt, Nt, réprobateur tout en repoussant avec souplesse mon arme, d'un doigt.
Me clamant je baissai ma garde et remis mon épée dans son fourreau. Alors que je me retournais en soufflant, lasse de ses gamineries, il fit valser son bâton au dessus de ma tête, que j'eu à peine le temps d'éviter en me baissant. Finalement je crois bien, que nous allions nous battre. A moins que quelqu'un ne nous en empêche ... ?

Ëlaelle, pour échapé à ses pensées, grimpa maladroitement dans la bateau en s'accrochant au bord et en souriant. Elle prit quelques minutes pour tenir corectement sur ses jambes et avança vers Mélodie. Puis elle décida que maintenant qu'elle y était elle ne bougerait pas et que cette aventure pouvait être enrichissante. Quand elle l'eu rejoind elle lui offrit un sourir fran et nouveau.
- qui a t-il Mélodie ?, demandais je à brule pourpoint.
J'attendais la reponce avec fougue.

Ëlaelle, pour échapé à ses pensées, grimpa maladroitement dans la bateau en s'accrochant au bord et en souriant. Elle prit quelques minutes pour tenir corectement sur ses jambes et avança vers Mélodie. Puis elle décida que maintenant qu'elle y était elle ne bougerait pas et que cette aventure pouvait être enrichissante. Quand elle l'eu rejoind elle lui offrit un sourir fran et nouveau.
- qui a t-il Mélodie ?, demandais je à brule pourpoint.
J'attendais la reponce avec fougue.

J'appelais Ëlaelle en secouant la main dans sa direction. J'étais si inquiète pour mon premier voyage que je voulais qu'elle me rassure comme elle le faisait souvent. Je me retournais face au pont et posais mes bras sur le bastingage. Le contact du bois sur mes avant-bras nus me faisait du bien. Je vis, au loin, un oiseau virevolter juste au dessus de moi. Je m'assis sur les lattes du sol et m'adossais à un tonneau non loin. Iah-el monta à son tour sur le bateau et s'en alla de l'autre côté du pont. Je me levais pour aller la voir et remarquais que Kean se dirigeait vers elle. Je décidais de ne pas m'interposer. Ëlaelle arriva tout sourire vers moi. Je la regardais émerveillée par l'embarcation et elle demanda.
-Qu'y a t-il Mélodie?
-Regarde! Regarde là-haut! je veux y aller! J'ai envie de monter! Tu ne trouves pas ça magnifique? Un bateau...je n'en avais jamais vu! J'ai toujours voyagé mais à pieds! Un bateau c'est gigantesque! A quoi servent ces cordes? Et ces grands draps? J'ai envie d'aller y toucher!
Je courait presque, je montrais du doigt tout ce qu'il y avait devant mes yeux! Je voulais à tout prix tout voir! Tout savoir! Je levais la tête vers les cordages. Je regardais si le capitaine ne me voyait pas. Le voyant discuter plus loin avec un matelot, je m'accrochais au bois du mat et commençais mon ascension. J'arrivais au nid-de-pie. Je vis, de là-haut, Ëlaelle qui me regardais inquiète. Kean et Iah-el se disputant encore...J'étais sûre que s'ils ne se calmaient pas ils couleraient le bateau. Je ne voyais pas comment nous pourrions flotter jusqu'à l'île. Je vis aussi le reste de mes compagnons et la Déesse. Fière de moi, je les appelais.
-Oh hé! Regardez! Vous devriez venir voir! Le paysage est si beau vu d'en haut!
-Que faîtes-vous? hurla le capitaine, Descendez!
Honteuse, je baissais la tête et me sentis rougir. Je m'accrochais à un cordage et me laissais glisser jusqu'en bas. Un rire m'échappa tant la descente était amusante. Mes pieds touchèrent le pont et je retournais vers Ëlaelle en marmonnant des excuses au capitaine.
-Il faut toujours que tu t'emportes trop vite.me dit ma soeur d'arme.
Je rougis encore et m'assis par terre, cachant mon visage entre mes bras.

Je la suivais en riant mais mon rire se perdit soudain quand je la vis grimper dans le nid-de-pie. Je la savais agile mais j'avais peur qu'elle ne tombe. Enfin quand le capitaine s'en aperçut, il lui ordonna de descendre et je ne put m'empêcher de sourire quand Mélodie se mit à rire accrochée à son cordage. Elle marmonna quelques excuses pour le capitaine puis me rejoignit.
-Il faut toujours que tu t'emportes trop vite, lui dis-je.
Je la vis ensuite s'asseoir au sol pour mieux cacher son visage dans ses mains et crus que je l'avais blessé. Je me jetais presque à ses côtés et, par un élan incontrôlé, la serra dans mes bras.
-Désolée! Je ne voulais en aucun cas te blesser!! Ce n'étais pas tant un reproche! J'aime bien quand tu t'emportes, dans ses moments là tu es toujours joyeuse et j'aime te voir joyeuse.
Je la serrais encore plus fort.

Quand je m'asseyais par terre, Ëlaelle se jeta à mon côté. Elle me prit dans ses bras et me dit:
-Désolée! Je ne voulais en aucun cas te blesser!! Ce n'étais pas tant un reproche! J'aime bien quand tu t'emportes, dans ses moments là tu es toujours joyeuse et j'aime te voir joyeuse.
Elle me serra un peu plus dans ses bras. Je relevais légèrement la tête pour libérer mon regard mais pas assez pour qu'elle puisse voir la honte sur mon visage. Je regardais cette petite elfe si tendre et si compatissante. Je toussota pour attirer son attention. Toujours les joues cachées par mes bras, j'attendis qu'elle se redresse.
-Ce n'est pas pour ce que tu as dit, je n'aurais pas dû monter là-haut... Je me suis permise de faire cela alors que ce n'est pas mon bateau et sans demander la permission! Je ne voulais pas importuner cet homme... dis-je d'une toute petite voix, dans mon sac j'ai un livre que j'ai trouvé à la bibliothèque, il dit comment ne plus être comme ça...timide... je voulais le lire mais je n'en suis qu'au premières pages... je devrais sans doute contrôler mes élans de joie... Ëlaelle désolée, le code dit " Ne mets jamais l’Ordre ou tes compagnons d’armes dans l’embarras." . Pardonnes moi!
Reprenant contenance, je me levais et me forçais à ignorer la couleur de mes joues.
-Dame Alyeka! Quand partons nous?

Nous étions arrivés sur la plage et le vortex s'était refermé aussitôt. Je m'empressai alors de vérifier que personne ne manquait à l'appel. Quatre, cinq, six... tout le monde était là. J'observai alors l'horizon et remarquai un bateau non loin de nous. Alyeka nous fit signe et se dirigea vers l'embarcation. Était-ce qu'elle avait prévu? Je suivis le groupe en fermant la marche et laissai les femmes monter à bord du navire avant de les y suivre. Je ne savais pas très bien quoi faire. Pendant que la déesse mettait les dernières choses au clair avec le capitaine, Mélodie et Ëlaelle observaient tout autour d'elles. Namiko quant à elle restait près de sa protectrice. Par contre, je ne voyais pas Iah-El. Je la cherchai un instant du regard et finis par l'apercevoir à la proue absorbée dans une concentration profonde. Je m'approchai d'elle mais elle ne semblait pas m'avoir entendu. Je me penchai à son oreille et lâchai.
- Bouh!
Elle sursauta en tirant son épée dont elle pointa le bout contre moi. Je ris et d'un doigt écartai la lame.
- Nt nt nt. fis-je en secouant la tête.
Elle rangea l'arme en me jetant un regard réprobateur et se retourna. J'en profitai pour sortir mon bâton de combat et le fis voltiger au dessus de sa tête. Elle se retourna le regard hostile et je pouvais voir qu'elle était sur la défencive.
- Tu m'avais promis un combat, je crois. lui lançai-je un sourire enjôleur aux lèvres.

elle releva doucement la tête mais je e pu distinbgué le rouge qui était sure ces joues.
-Ce n'est pas pour ce que tu as dit, je n'aurais pas dû monter là-haut... Je me suis permise de faire cela alors que ce n'est pas mon bateau et sans demander la permission! Je ne voulais pas importuner cet homme... me dit elle d'une toute petite voix, dans mon sac j'ai un livre que j'ai trouvé à la bibliothèque, il dit comment ne plus être comme ça...timide... je voulais le lire mais je n'en suis qu'au premières pages... je devrais sans doute contrôler mes élans de joie... Ëlaelle désolée, le code dit " Ne mets jamais l’Ordre ou tes compagnons d’armes dans l’embarras." . Pardonnes moi!
elle se releva pour poser une question à la déesse mais je lui laissais pas le temps de s'enfuir. Je lui attrpa le bras pour la retenir.
- A moi tu me n'as pas mis dans l'embaras, donc tu n'a pas à te faire pardonner.
je la lachais avant de reprendre assez vite.
- les compagnons doivent toujours s'entre-aider alors je t'aiderais pour ta... euh... ton apprentissage de la timidité ! Mais en contre partit, ajoutais je comme ci j'allais lui dmender le diable, je demenderais au capitaine de nous laisser le droit de monter au nie-de-pied et je veux que tu m'apprennes à y grimper sans mourir de peur.
Mélodie ne devais pas ignorer ma sainte terreur pour le vide. Rien que l'idée de me tenir sur la murail du chateau m'éfrayais et moins je mis rendais, mieux je me portais ! Mais cette peur ne pouvais pas indéfiniment me prendre aux tripes. je la regardais avec mon habituel petit sourire.

Alors que j'attendais la réponse de la déesse, Ëlaelle me saisit le bras et me retint. Elle me regarda et je pensais qu'elle allait me frapper, ou peut-être crié... Je ne tentais pas de retirer mon bras, j'étais tétanisée devant ma soeur d'arme. Elle parut s'énerver et me cria presque dessus lorsqu'elle me dit:
"- A moi tu me n'as pas mis dans l'embarras, donc tu n'as pas à te faire pardonner. Les compagnons doivent toujours s'entre-aider alors je t'aiderais pour ta... euh... ton apprentissage de la timidité ! Mais en contre partit, je demanderai au capitaine de nous laisser le droit de monter au nid-de-pied et je veux que tu m'apprennes à y grimper sans mourir de peur.
Elle m'avait lâché mais je n'avais toujours pas bougé. Je la regardais interloquée. Je souriais et lui faisait un bisou sur la joue.
-M-merci Ëlaelle...
Je ne savais pas quoi dire d'autres, je me retournais et allait vers Alyeka. J'attendais sa réponse.

Je sourie moi aussi à Mélodie et lacha même un petit rire quand elle posa un bisous sur la ma joue.
-M-merci Ëlaelle, me dit elle avant d'aller cherché la réponse a sa question.
Je m'étirais et avançais sur le bateau avec légèreté. J'allais me posté à l'avant ou le vent joua de nouveau avec mes cheveux. j'eu le malheur le capitaine crier que nous allions au royaumes des elfes. J'vais presque fait demi tour pour sauté à terre temps je n'avais pas envie de revoir mon pays natal. Au lieux de cela je préférais m'accrocher au bois du bateau et y enfoncer mes ongles pour me forcer à rester. Je ne voulais pas mettre un pied sur la terre de ceux qui m'avait traîner sans remords jusqu'à Émeraude. Me mordant la langue pour le calmer je lâchais le bois du navire pour m'asseoir au sol. Je manquais de crier dans le vent pour me défouler. Mais encore une fois je tentais de me calmer en respirant à fond.
-pas question qu'un elfe me parle ou que je doive me retrouver en face d'un seule ! Je préfère encore rester dans ce bateau plutôt que de descendre....
Je parlais seule mais cela me calmais.

Sentant les vagues contre le bateau, je sentis du même temps mon coeur bouger dans ma poitrine. Tout d'abord j'eus la nausée, je me dirigeais donc vers le bord et me penchais. L'air arrivait sur mon visage et dansait dans mes cheveux. Le malaise repartait et je m'habituais au rythme du bateau. Nous voguions vers le nord. Soudain, mon esprit se souvint que nous allions chez les elfes. Ces mêmes elfes qui n'avaient pas fait autrement que d'agir comme les fées et de me rejeter pour mon sang mêlé. Je revoyais, sur l'écran noir de mes yeux fermés, les visages de mes amis et compagnons. Je me sentis fière. Je pensais que s'il fallait que je retourne dans l'un de mes pays d'origine, je leur montrerai que je suis chevalier et que j'ai des amis comme on en rêverait. Je souriais à l'étendue d'eau et tirais la langue à des ennemis visibles pour mes yeux seuls. Contente de mes déductions, je me retournais vers le pont et regardais mes amis. Chaque matelots étaient à son ouvrage, la déesse jouait avec son démon-feu, mes compagnons s'occupaient comme ils pouvaient ou discutaient. Sur le côté, Ëlaelle était prostrée sur le sol. Mon sourire se perdit, je me dirigeait vers elle lorsque je l'entendis parler pour elle seule.
--pas question qu'un elfe me parle ou que je doive me retrouver en face d'un seule ! Je préfère encore rester dans ce bateau plutôt que de descendre....
Je m'approchais encore.
-Ëla qu'est ce que tu racontes? Bien sûr que tu vas venir! On va y aller toutes les deux! On va leur montrer ce qu'on est et ce qu'on a! Tu verras Ëla, ces gens n'emporteront pas sur les plaines de lumière tout le mal qu'ils nous ont fait! et un jour j'irais dans mon pays natal pour la même chose et comme ça mes deux peuples sauront qu'ils ont eu tord de ne pas accepter la différence! Tu es avec moi?
-Bien sûr que je suis avec toi! Je l'ai toujours été,dit elle hésitante en repensant à son peuple puis elle parut plus rassurée et continua, oui! Tu as raison! Nous irons ensemble! Je leur dirais ce que je pense de la manière qu'ils ont eu de m'avoir laissée seule et de m'avoir séparé de mes parents, bien qu'ils fussent déjà sur les plaines de lumière lorsque cela se produisit. Et bien sûr que je t'accompagnerai pour dire aux fées que leur conduite envers à été tout aussi lamentable!
-Alors nous irons! N'ait plus peur! Je veux te voir sourire!

Pour lui remonter le morale, j'eus une idée. Je me concentrais pour retrouver dans ma mémoire les quelques bribes de chansons que les fées chantaient durant mon enfance. Je réussis à en retrouver une qui convenait. Elle parlait d'un voyage vers un territoire inconnu, d'aventure et de beauté de paysages. Je me levais, me plaçait face à elle, contre l'un des mats du bateau. Je pris ma respiration et réfléchit une dernière fois au rythme. Je fermais les yeux et commençais ma chanson dans ma langue natale. Les notes et les mots mélodieux s'enchaînaient et la musique courait au rythme des tangages du bateau. Je rouvris les yeux en chantant toujours, et souriais à ma soeur d'arme qui était émerveillée. Les matelots s'étaient rassemblés autour de nous et écoutaient ma chanson que je dédicaçais à Ëlaelle. Je continuais de chanter durant tout le reste du voyage.

le chant de ma soeur d'arme m'emporta litéralement hors de ma pensée houleuse. Je la savaix incroyblamement doué au chant mais de je ne pu être que surprise par sa douce. Je me permit de lire son esprit et ouvrit de grand yeux quand j'y lus que la chansons etait en féérique et que la soeur d'arme, pour me donner le sourire avait décidé de chanter pendant tout le long du voyage. Je l'écoutais puis demandais:
- tu peux de nouveau chanter la première chanson ?
Elle me regarda interogativement.
- s'il te plait, ajoutais je.
Je tentais un sourire peut convainquant qui la fit dire oui. Elle commneca a la rechanter et je joignit ma voie a la sienne dans les quelques moments que j'avais retenue.Nos deux voix s'amornisait bien et je manquait de me perdre dans un fou rire a chaque fois que je me trompais de mot. La bonne humeur se peignit bien vite en grand sur mon visage.

Kean me regardait toujours de ce même sourire enjôleur qui le caractérisait. Puis me servant un sourire plus large, il me fit remarquer que je lui avait promis un combat.
Ne perdant pas une seconde de plus pour accomplir ma promesse; je dégainais à nouveau mon arme et jouai avec en faisant tourner le pommeau dans ma main avant de la ramener vers moi et de lancer :
-Pret ?
Kean acquiesça rieur et balança le premier coup avec son bâton. Le faisant passer dans son dos il me frappa au flanc. Ne m'attendant pas à cette attaque, je fus déboussolée un instant puis reprenant mes esprits, je me dégageais de lui en lui envoyant un coup de pied en plein dans le plexus, juste assez fort pour que sa respiration fasse un sursaut. Reprenant mes appuis, je fis un bond un arrière et ramenai mon épée en phase défensive avant de la passer de nouveau en offensive.

[...] ...

[Mais qui donc va gagner ? !!] ... [...] ... [J'ai rallongé un peu le texte mais c'est pas drôle si je fais la description du combat seule ! ]

Ma soeur d'arme paraissait enchantée. Les marins étaient, maintenant, tous rassemblés autour de nous. Après que j'eus, encore une fois, rechanté la première chanson qu'elle ne cessait de me redemander. Un des mousse nous demanda si nous connaissions des chansons de marins. Je regardais Ëlaelle, interloquée.
-Tu en connais? Moi je ne connais que celle-ci.
-Je n'en connais pas non plus, répondit Ëlaelle.
-Bon, QUELQU'UN CONNAIT IL UNE CHANSON DE MARINS? hurlais-je à l'assistance en sachant pertinemment que le mousse en question en avait une en tête.[/b]
-Moi, dit le jeune garçon.
Il s'approcha de Ëlaelle et avisa ses oreilles pointues.
-J'en connais une en elfique, continua t-il.
Je souris à mon amie et lui fit un clin d'oeil, ce jeune marin voulait lui chanter une chanson dans la langue de ses ancêtres, je voulais voir comment elle allait réagir.
-Hé bien chantes jeune homme! Je te suivrais si j'y arrive, proposais-je.
L'homme retira son couvre-tête et le tint dans ses mains, il parut chercher ses mots et posa un genou en terre devant mon amie. Il s'excusa pour les fautes de langage qu'il pourrait commettre puis se releva et se mit à chanter dans un elfique approximatif. Ëlaelle souriait, grâce à mon pouvoir d'anticipation, que je ne savais pas vraiment utiliser, je pus connaître les notes et les mots de la chanson. Je me mis à chanter avec le jeune homme. Devant ce spectacle, nos compagnons chevaliers étaient venu écouter. Tout le monde s'était mis à entonner la mélodie avec un parlé plus ou moins bon, la langue utilisée ne nous importait pas car tout le monde chantait ensemble et tous étaient de bonne humeur.

Je ne su comment réagir quand le jeune homme mit un genoux à terre devant pour le pardonner des fautes. Tournant la tête vers Mélodie j'apperçue son clin d'œil et eu envie de lui tirer la langue. Mais déjà le jeune homme commençais le douce mélodie. Je la reconnu, on me l'avais déjà chanter, il y avait de cela longtemps. Ma sœur d'arme se mit à chanter avec le jeune homme. Pour toute réaction je mis a rire. Puis je me tue, regarda les chanteurs en bougeant au rythme de la chanson.

Alyeka s'éclipsa derriére la voile prndant que le mousse chantait sa chanson
-Sparwari ! Où es-tu ? souffla Alyeka

un épervier se changea en un jeune homme au cheveux long noir qui descendait jusqu'au épaule, il portait une tunique noir avec une ceinture en cuir noire, un pentalon noir et des bottes noire. Ses ailes d'épervier se rabattais dans son dos.

-Vous m'attendiez belle déesse ? souffla le dieux ailée avec grâce
-Enfin je suis tranquille sans mon pére...

Alyeka et Sparwari s'enlacérent derriére la grande voile et Sparwari l'embrassa sur le front puis sur les deux yeux d'Alyeka qui était fermé et enfin il lui prit le menton et l'embrassa sur les lévre avec la douceur du zéphir et d'une plume.

[quelqu'un peut nous surprendre, nous demander ce qui se passe et ( vous choisisez la suite)]

Je finissais la chanson avec le jeune mousse et lui serrais la main. Il sourit gêné, je préférais le laisser avec Ëlaelle. Le spectacle étant finit, tout le monde retourna à son poste. Je marchais sur le pont et me retrouvais de l'autre côté du bateau. La déesse Alyeka avait raison, j'adorais la navigation et la mer. Le vent souffla doucement sur mon visage et poussa mes cheveux détachés sur mes épaules. Je tournais tel une danseuse et riais seule. A force de tourner, je me retrouvais dans un coin reculé du pont. Je me retournais et trouvais la déesse enlacée à...un homme que je ne connaissais pas.
-Oh...Pardonnez moi déesse, je ne voulais pas.
Je m'inclinais et reculais en regardant toujours mes pieds.
-Ce n'est rien, dit l'homme, Alyeka, tu ne nous présentes pas?
Je rougis encore et pensais que, si elle avait pu, elle m'aurait fusillée du regard. C'était la déesse que je préférais au panthéon même si il était inconvenant d'avoir une préférence. Je me relevais et pris un air sûr de moi.
-Je suis Mélodie, lieutenant chevalier d'Émeraude! Et vous?
Je me dis soudain que j'avais bien mal parlé. Mais j'attendis qu'il se présente en soutenant son regard.

Sparwari regarda Mélodie avec tendresse

-Je suis Sparwari, dieux du parthénon ailée. Je suis anciennement le chevalier Sage d'Emeraude.

Je me blottie dans les bras de Sparwari en repensant au temps où j'était amoureuse secrétement de ce chevalier au yeux comme des miroirs

Il vas nous suivre le temps du voyage... Répondit Alyeka tous en restant dans les bras de ce dieux ennemie de son parthénon

-Je suis Sparwari, dieux du parthénon ailée. Je suis anciennement le chevalier Sage d'Emeraude.

Lorsque l'homme prononça ces mots, je fut abasourdie. Je baissais de nouveau la tête. Cela devenais une habitude. Je tentais de masquer mes joues rouges avec les mèches de mes cheveux blonds qui tombaient devant mes yeux. Je me rappelais qu'on nous avait parlé de Sage d'Émeraude. Que je m'étais tout de suite dit que j'aurais aimé le rencontrer et pouvoir lui parler. Maintenant que j'étais face à cet homme, ce dieu! Je ne trouvais pas les mots.
-Il vas nous suivre le temps du voyage...dit la déesse.
Et moi de répondre en relevant la tête: -Alors nous pourrons sûrement discuter plus tard seigneur, j'ai tant de question à vous poser!
Je lui souris. Aleyka s'était blottie dans ses bras et je vis sur son visage comme une expression de bonheur. La voir ainsi me fit me sentir heureuse pour elle. Son visage doux et souriant donnait envie de la protéger, c'était idiot, c'était une déesse, elle était la protection elle-même. Le dieu aux ailes magnifique se tourna vers moi après avoir déposé un baiser sur le front d'Alyeka et tendis les bras vers moi. J'hésitais.
-Alors, on ne vous apprends plus le salut des chevaliers à l'école?
-Hé bien si...mais vous êtes un dieu, je ne sais pas si j'ai le droit de vous toucher.
Il rit et attrapa mes bras sans se détacher de la déesse. Il les serra à la manière des chevaliers et regarda ma réaction.
-Vous êtes froid, ma réponse me parut étrange et je me repris, vous toucher donne l'impression de toucher de la pierre mais c'est si doux...C'est étrange. Tous les dieux sont comme cela?
Il consulta sa compagne du regard et ne parut pas savoir quoi répondre.