J'avais suivit mon ami jusque dans sa chambre. J'entrais normalement pour qu'il sache que j'étais là. C'était une des rares fois où je l'avais vu pleurer. J'étais debout pendant qu'il pleurait sur le lit de son maître. J'étais perdu. Mon maître m'avais demandé de consolé Connor mais comment ?... Je me décida pour quelque chose de fort simple. Je m'étais assis sur le bord du lit et je lui transmit une vague d'apaisement comme on nous avait appris à le faire.
-Relève la tête Connor. Tu n'as pas à t'en faire. Lady Mélodie s'occupe de ton maître. Et puis, on la trouvera cette plante ! lui dis-je en me levant d'un bond et point brandit.
Je me tournais vers lui, il pleurait moins, encouragé par mes paroles. Je continuais donc. Je parlais et marchais de long en large, parfois je sautais sur son lit puis revenais presque en courant vers lui et sautait sur le lit de son maître, ce qui le faisait rire.
-Es-tu sûr de toi Jérik ? Enfin... je veux dire ?... Et si ....?...il ne pût finir que je lui coupais la parole
-Tatata ! Tais-toi donc malheureux ! Comment oses-tu mettre ma parole en doute ?! Tu me vexes, mon ami ! Je crois que je l'ai très mal pris. je croisais les bras sur ma poitrine, fis une moue boudeuse en relevant le menton Bon, il est vrai que je ne suis pas le grand Parandar ni même la belle et toute puissante Théandras, c'est bien dommage d'ailleurs...Mon ami éclata de rire... mais je puis t'assurer qu'on fera tout pour que ton maître reste aussi longtemps que possible parmi nous. Je ne t'en fais pas la promesse mais je prierai les dieux. Courage mon frère.