l'Amour et la Rage [pv Iah-El]

J'étais partit à la recherche d'une personne ayant vu la scène qui s'était déroulée sur le bateau lorsqu'Ëlaelle avait sombré, quand je tombai nez à nez avec la déesse et Cylan en pleur dans ses bras.
Le spectacle extrêmement surprenant, me stoppa net. Cylan qui pleurait ... ? Je ne l'avais pas vu dans cet état depuis des années, même enfant il n'aimait pas pleurer devant ses camarades d'études, préférant garder ses larmes et ses sentiments pour lui seul ... mais maintenant qu'il était en âge d'aime je suppose que cela devait être différent ...
Je me plantait dans son dos, observant la déesse, touchée par les larmes de son protégé, je l'interrogeais du regard. Alors elle repoussa gentiment le grand chevalier au coeur emmuré et toussota :

-Elidjä ... Quelle surprise !

-De même, lu répondis-je respectueux.

Cylan, me regarda durement, comme s'il m'en voulait d'avoir interrompu ce moment d'intimité.
Je lui rendis son regard, plus perçant encore.

-J'aurais aimé vous parlez déesse, dis-je doucement à Alyeka.

-Pourquoi...Déesse. Pourquoi les cieux me l'ont ils donné si c'est pour la voir partir? Elle est mon âme-soeur...Vous le savez... Pourquoi cela se passe t-il ainsi? Je veux qu'on me la rende! C'est injuste! Vous vous moquez de moi! Je ne veux qu'elle...

Lorsqu'elle entendit les parole et les pensées de Cylan, un grand vide se fit dans le coeur d'Alyeka, c'était comme si on lui enlevais un bout d'elle-même...
Alors que Cylan ne croyait plus en elle, Alyeka souffrait le martyre. Elle s'évanouïe telement la douleur était insoutenable. Sparwari et Silvermist (ou de nom plus simple Lya) abandonnérent leurs activités pour secourir Alyeka.

-Qu'avez-vous fait ! si vous saviez comment elle prenait soins de vous depuis que vous étes née ! si vous ne croyez plus en elle... c'est un bout de son âme qui s'en vas... Sermonna Sparwari tandis que Lya/Silvermist regardait Cylan et l'on pouvait voir dans ses yeux des flammes bleus de colére.


Sparwari pris Alyeka, toujours innerte, dans ses bras et partit loin de Cylan, celui qui ne croyait plus en celle qui l'avait aider depuis le berceau....

[C'est la fête ou quoi? A la base pv signifie privé. Tout le monde s'est donné rendez-vous?]

[désolé --"]

on en est où de l'histoire? On fait un nouveau rp pour faire avancer le chmil-blic?

[moi on m'a dit de venir...les autres j'y peux rien... moi on m'a obligé sous la menace!! alors je ne me sens pas concerné par ton râlage ]

non pas toi [Oh, ça va ralage...]

[après y a eu de l'incruste... on fait quoi alors? on continu où?]

j'en sais rien, continuez si vous voulez.
Je tiens à mettre les choses au clair! Je n'ai jamais dit que j'en voulais à Alyeka. J'ai dit que l'incruste après était exagérée. Un ça va, la suite faut pas poussé. Je n'ai JAMAIS accusé Alyeka. Si ça a mal été interprété je m'en excuse publiquement]

[on accepte ton "mea culpa" ^^ personne n'accuse personne et personne ne se sent accuser! Maintenant on stop the flood! on pourrait peut-être locker ce sujet...et on continuerait autre part... Déjà je vais faire partir Cylan et si tout le monde déserte on pourra fermer je pense... mais pitié, que tout le monde reste zeeeeen! ]

pardon je suis a cran en ce moment a cause du lycée (c'est le plus select des lycée de paris : encpb = Ecole Nationale de Chimie, Physique et Biologie) et ma mére m'as retier ma carte de retrait d'argent. encore pardon c'est de ma faute... j'aurais pas dut m'incruster la 1er...

[pas d'inquiétude! on reprend le rp maintenant s'il vous plait! On est là pour ça au départ par pour se fritter!]

Je me relevais et laissais mes supérieurs ici. Je séchais mes larmes mais mes pensées n'étaient pas tranquilles et encore en désordre. Pour aider le couple, je devais trouver un moyen pour pouvoir canaliser assez d'énergie pour que mon illusion tienne comme ils en avaient besoin. Je cherchais dans mon esprit et pensais à la bibliothèque. A cette heure ci il ne devait y avoir personne. Je fonçais donc vers la bibliothèque, courant presque pour atteindre mon but sans croiser personne. Je parvint à la lourde porte de bois.